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Le Glaucome : causes, manifestations et traitement

Le Glaucome est la première cause mondiale de cécité irréversible. Il détruit progressivement et définitivement le nerf optique en silence sans signe ni symptômes spécifiques. A l’occasion de la journée mondiale du glaucome, Pr EBANA MVOGO Côme, Président de la Société camerounaise d’ophtalmologie répond aux questions de la rédaction.

Quand se célèbre la journée mondiale du glaucome ?

La journée mondiale du glaucome se célèbre le 14 mars de chaque année, tandis que la semaine mondiale du glaucome cette année va du 10 au 16 mars 2019.

Qu’est-ce que le glaucome ?

Le glaucome est une destruction progressive des fibres nerveuses du nerf optique qui aboutit à la cécité. Il se manifeste par la diminution progressive de la vue sur les côtés de l’œil, comme si le malade regardait dans un tuyau et finit par être aveugle.

Quels sont les types de glaucomes ?

Le glaucome congénital  qui atteint le bébé dans le ventre ou immédiatement après la naissance, qui va de la naissance jusqu’à trois ans. Le glaucome juvénile qui va jusqu’à l’âge adulte. Le glaucome de l’adulte dont la forme principale est le glaucome primitif à angle ouvert qui commence aux alentours de 40 ans.

Y a t-il des causes liées à cette maladie ? 

Il y a une partie génétique dans la mesure où dans certaines familles, beaucoup de personnes font le glaucome. Mais la plupart du temps, on ne trouve aucune cause spécifique. C’est pour cela qu’il faut toujours se faire dépister et surveiller le nerf optique pour être sur qu’on n’a pas le glaucome.

Quelles en sont les manifestations ?

C’est une maladie extrêmement complexe.  Au début il ny a pas de symptômes spécifiques qui peuvent faire penser qu’on est atteint du glaucome. Si on n’est pas très attentif, on ne s’aperçoit pas que la vision diminue sur les côtés. Ce n’est qu’au stade compliqué lorsque la maladie a beaucoup évolué que l’on s’aperçoit que la vision a diminué.

Peut-on guérir du glaucome ?

On ne guérit pas du glaucome, mais on le traite. Parce que le glaucome n’a pas une cause génétique spécifique. Il faut avoir un faisceau d’arguments pour poser le diagnostic du glaucome.  Parfois la pression intraoculaire est très élevée, ou dans certains cas elle est à la limite de la normale.

Comment traiter cette pathologie ?

On peut la traiter de trois façons dont médicalement, et c’est un traitement à vie qui consiste à mettre les gouttes dans les yeux tous les jours pendant toute la vie. Ensuite par  l’opération. Lorsque l’opération est réussie, on constate que la pression intraoculaire est stabilisée et qu’elle n’évolue plus. Cela ralentit et arrête la pression des fibres optiques. Dès lors on peut garder la vue bien qu’étant glaucomateux.

Quels sont les objectifs que vise la semaine d’activités de lutte contre le glaucome ?

L’information. Il faut donner la bonne information à la population et les sensibiliser dans le but d’aller faire le dépistage. L’adage de la semaine est « la vue c’est la vie » pour dire qu’on ne doit pas laisser le glaucome voler votre vue et pourrir votre vie.

Y a-t-il un âge pour se faire dépister ?

Adulte de plus de 35 ans. Les plus jeunes peuvent se faire dépister lorsqu’ils ont des gens dans leurs familles qui sont glaucomateux.

Quelques statistiques ?

Environ 5% de la population camerounaise ont le glaucome. Sur le plan mondial, plus de 75% d’aveugles dus aux glaucome. On compte donc environ des centaines de millions de glaucomateux dans chaque pays à travers le monde entier.

 

Entretien réalisé par Josiane Bomoyeto

le cancer de A-Z: Entretien avec le Pr Paul Ndom, Chef du Centre Medico-social de l’Universite de Yaounde II

A l’occasion de la célébration de la journée mondiale du cancer, le Pr Paul Ndom, Onchologue , Chef du Centre Médico-social de l’Université de Yaoundé II, et Secrétaire permanent du  Comité national de lutte contre le cancer, a échangé avec notre rédaction pour éclairer la lanterne de la communauté universitaire sur cette pathologie.

 

Professeur, quand se célèbre la journée mondiale du Cancer  ?

La journée mondiale du cancer se célèbre tous le 04 février chaque année.

Pourquoi la journée mondiale du Cancer et quel est le thème de cette année ?

La Journée mondiale du Cancer est consacrée depuis 13 ans à la sensibilisation de l’opinion mondiale sur la problématique du cancer.  Le thème de cette édition 2019 est « je suis un tel, je dois faire telle chose ». Ce thème a pour but d’interpeller les différents acteurs, toute la communauté mondiale à participer à la lutte contre cette pathologie, car l’Etat seul ne peut pas réussir à vaincre le cancer. Il faut que chacun puisse apporter sa contribution avec ses moyens dans le lieu où il se trouve et avec son expérience.

Quelles sont les causes du cancer ?

Les causes sont multiples et dépendent du type de cancer. Il y a  l’hépatite B qui finit par causer le cancer du foie ; le HIV/Sida qui cause les cancers cutanés appelés les « Sarcome de kaposi » ; « epstein barr virus» qui provoque les lymphomes qui sont une tumeur qui se manifestent par des ganglions au niveau des aisselles et même dans la cavité abdominale ; le « Human papilloma virus » qui est vraiment responsable des cancers au niveau du col de l’utérus.

Il y a  également le tabagisme qui cause le cancer du poumon ; les peintures que nous utilisons ; la poussière aspirée par les casseurs des pierres ; la forte consommation d’alcool ; la consommation de certains aliments mal conservés comme les graines de maïs, de blé, d’arachide et enfin des champignons qui peuvent causer le cancer du foie.

Quelles sont les manifestations du cancer ?

Les manifestations sont liées au type de cancer, à sa localisation, à son agressivité. Chaque cancer en fonction de sa localisation présente des signes et des symptômes. Les signes de cancer ne se cachent pas. Au départ c’est lent, mais progressivement ça devient bruyant.  Une femme par exemple atteinte du cancer du sein a une forte poitrine parce qu’un nodule est entrain de grossir dans le sein. Ce nodule peut se fistuliser, se percer comme un abcès et devenir très dangereux. Le sein commence à couler au point de mouiller le soutien, la robe, etc.  Chez certaines personnes, l’abdomen qui est plat devient comme une grossesse de six mois parce qu’il y a une tumeur qui se développe à l’intérieur, etc. Le cancer se manifeste aussi par une forte transpiration et à tout moment chez des personnes qui présentent des lymphomes avec des ganglions aux aisselles dans la région inguinale. Dans les leucémies, il y a des patients anémiés, pâles, etc.

Est-ce qu’on guérit du cancer professeur, si oui comment se passe le traitement ?

Il y a des cancers qu’on guérit. Ce sont des cancers dont le diagnostic est précoce. C’est-à-dire les cancers dépistés très tôt avant qu’ils ne commencent à se développer, avant qu’ils ne fassent des métastases. C’est dire que le malade de cancer précoce peut guérir de cette pathologie lorsqu’il est pris en charge immédiatement après dépistage par les centres agréés ayant des médecins compétents dans le traitement du cancer.

Les traitements du cancer sont variés et dépendent du stade de l’arrivée du malade à l’hôpital. Pour le traitement, la chirurgie est indiquée quand la tumeur est précoce et palpable. Après la chirurgie, il peut avoir la chimiothérapie, en fonction de ce qu’on a observé à l’analyse de la pièce qu’on a enlevé chirurgicalement. Il y a aussi la radiothérapie, des rayonnements qu’on peut envoyer dans la zone concernée.

La plupart des malades de cancer arrivent tardivement à l’hôpital, lorsque la maladie est déjà à une phase très avancée. Qu’est ce qui justifie cela?

L’arrivée tardive des malades de cancer à l’hôpital s’explique simplement par le manque d’informations sur cette pathologie. Les populations ne suivent pas les médias, les programmes de santé, elles ne s’informent pas sur cette maladie. Ces populations n’écoutent pas des personnes formées, et préfèrent courir vers des guérisseurs qui parlent de cancer pourtant ils n’en ont pas la maîtrise. Il y a également la pauvreté ambiante qui ne permet pas à certaines personnes de se rendre à l’hôpital pour se faire consulter.

Quelles sont les stratégies mises en place jusqu’ici  pour lutter contre cette maladie ?

Au niveau du comité national de lutte contre le cancer, nous allons créer des centres de dépistage et de diagnostic précoces des cancers dans les 10 régions. Ainsi les gens pourront s’y rendre tous les jours pour se faire consulter. Ce qui nous permettra de lutter efficacement contre cette maladie. Le dépistage va nous permettre de rechercher des signes qui peuvent évoluer vers le cancer si rien n’est fait. C’est-à-dire trouver des anomalies qui peuvent générer le cancer. On pourra donc recenser les cas précoces de cancer.

Quelques chiffres ? 

L’année prochaine il y aura des données plus fiables concernant  toute l’étendue du territoire national. Mais selon les statistiques  de l’Hôpital Général de Yaoundé pour cette année, en moyenne sur 1000 malades reçus à l’Hôpital Général et atteints de cancer, 66 % de cancers concernent les femmes. La plupart de ces cancers se retrouvent chez les personnes jeunes entre 41 ans et 50 ans, pourtant à l’Etranger, la majorité des cancers c’est après 50 ans.70% des malades de cancer arrivent à  l’hôpital à des phases tardives. Le cancer du sein garde la palme d’or.

Peut-on prévenir le cancer ?

Oui on peut prévenir le cancer. Il y a des pays où on ne parle plus du cancer du col de l’utérus. Tout simplement parce que les jeunes filles avant leur premier rapport sexuel, prennent le vaccin contre le HPV. Il y a aussi des vaccins contre l’hépatite qui préviennent le cancer du foie.

Il y a également une bonne hygiène de vie, les exercices physiques et sportives, le fait de ne pas rester à côté des fumeurs, le fait de ne pas prendre l’alcool, avoir une alimentation saine, manger beaucoup de légumes, des fruits.

 

Entretien réalisé par Josianne  Ndigui B

 

Capacité en Droit et en Economie : le probatoire désormais incontournable

Par une note portée à l’attention des étudiants le 14 février 2019, le recteur rappelle les conditions d’inscription en première année des filières classiques.

La question d’admission des titulaires de la capacité en droit et en économie en première année de licence dans les filières classiques  a définitivement été réglée par le Ministre d’Etat, Ministre de l’Enseignement supérieur le 18 octobre 2018 dernier. Par l’arrêté N° 00718/MINESUP/SG/DDES/DAJ/CR DU 18 OCTOBRE 2018, le Ministre de l’Enseignement Supérieur exige aux candidats titulaires d’une capacité en droit et en économie,  une  moyenne supérieure ou égale à 13/20 au terme de l’addition des résultats des niveaux I et II en capacité, s’ils veulent poursuivre leurs études en 1ere année licence dans une filière classique. Aussi, les candidats doivent être titulaires d’un probatoire ou d’une attestation de la classe de première avec une moyenne égale ou supérieure à 10/20, et pour les candidats titulaires d’un GCE Ordinary level, l’avoir obtenu avec au moins trois matières à l’exception de la Religion ,

Dans un ton ferme, le recteur met en garde tout collaborateur qui outrepasserait  cette réglementation « sur le fondement de cette réglementation, j’ai le devoir de rappeler que toute inscription obtenue en marge de ses conditions cumulatives est nulle et de nul effet. Et, selon les circonstances elle pourra être considérée comme frauduleuse Les responsables chargés des affaires académiques et ceux intervenant dans la chaine de la scolarité qui émettraient des avis favorables sur une inscription non conforme, s’exposent aux procédures disciplinaires.». souligne le recteur.

 

 

 

Martial A. OTABELA

 

8 mars 2019: les dames de l’Uy2 font dans « le social »

Les dames de l’Université de Yaoundé II étaient au centre d’accueil pour des  personnes du 4e âge Béthanie Viacam à Nkolmesseng dans l’arrondissement de Yaoundé 4e ce jeudi 7 mars 2019. La délégation était conduite par le Pr Edmond Biloa, Vice-recteur en charge du contrôle interne et de l’évaluation, le Directeur du centre des œuvres universitaires , le Nten Nlate et la coordinatrice des activités de la JIF 2019 à l’Université de Yaoundé II, madame Huguette Antangana Lema. Les dames ont fait un don  de médicaments et des denrées alimentaires au centre social.

Un moment de forte émotion qui a fait tomber un temps soit peu,  l’euphorie de la fête. A Béthanie Viacam, pas vraiment de raison de rire au éclats. Ici, une trentaine de pensionnaires vivent au jour le jour, chacun attendant tristement son heure, loin de leurs familles pour la plupart. Ici, chaque visite  compte. Chaque don est non seulement une marque d’attention inestimable,   mais surtout un moyen de tenir quelques jour à l’abri du besoin du stricte minimum.

Le Centre d’accueil Béthanie Viacam a été créé en 1986 par la sœur Gertrude (la congrégation des filles de Marie). A sa mort en 2015, le centre fut confié aux diocésains par l’archevêque de Yaoundé. Il est dirigé depuis lors par l’abbé Désiré Essama.

 

Par Martial A. Otabela

Jeux universitaires Dschang 2019: le compte a rebours…

A deux mois de la tenue de la 22e édition des jeux universitaires Dschang 2019, les préparatifs au sein de la team UY2 vont bon train. Du moins, c’est le constat que notre équipe de rédaction a pu faire ce Mardi 5 mars 2019. Sur les 4 ateliers visités, les encadreurs sont rompus à tâche, avec un seul objectif: aller décrocher la médaille d’or.

Quelques acteurs ont bien voulu partager leur état d’esprit.

Thierry Ngono Massagniki, Handisports Uy2

 

« Notre préparation pour les jeux universitaires à bien commencé. depuis le mois de décembre 2018,nous avons débutée par des séances de musculation au gymnase de l’UY2. Actuellement nous sommes à la phase technique qui consiste à la manipulation des angins(javelot, poids, disque). 

En ce qui concerne nôtre État d’esprit ,nous sommes serein,calme et restons concentré pour la suite. Notre objectif principal est d’aller chercher autant de médailles d’or possible, et améliorer notre position au classement général. Nous savons que nous devons  faire mieux qu’à maroua 2018. En ce qui concerne nos difficultés, il y’a surtout la disponibilité de notre matériel. Le matériel avec lequel nous travaillons est très défectueux et insuffisant par rapport au nombre d’athlètes,  ce qui ralentit très souvent nos entraînements. Aussi, l’absence des kinésithérapeutes lors des séances d’entraînement et même après nous pose des sérieux problèmes. Mais nous gardons le moral haut, notre encadreur nous dit chaque jour que l’échec n’a pas d’excuses ».

Mot Yebies Larissa, médaillée d’or en Handball dames (Bamenda 2017), médaillée d’argent (Maroua 2018)

« Notre préparation se passe assez bien. Nous sommes encore à la phase tactique, c’est encore moins pénible. Malheureusement on a beaucoup  des joueuses qui sont parties. Avec elles on avait déjà développé des automatismes même pendant les entraînements , et c’était très facile d’appliquer les schémas tactiques que nos coachs nous montrent. Nous gardons les yeux fixés sur l’objectif : la médaille d’or qui nous a échappé l’année dernière à Maroua »

 

Nancy YENGA ZE, médaillée d’or en football dames (Maroua 2018)


 » Nous nous préparons sereinement. Nous sommes conscientes  qu’il est plus facile daller à la conquête d’un sacre que de le conserver. Nous tenons à conserver jalousement notre titre que nous avons péniblement arraché à Maroua en 2018. »

    

 

 

Urilch Martin Ayangma, médaillé d’or en Basket-ball Maroua 2018

« Notre préparation est très rude cette année. Bien plus rude que l’année dernière. La discipline est de rigueur. Les coaches n’hésitent d’ailleurs pas à mettre certains joueurs de haut niveau à l’écart lorsqu’ils ne veulent pas se conformer  à l’esprit d’équipe.  On veut remporter une autre médaille d’or à Dschang en 2019 pour prouver au public que notre sacre l’année dernière à Maroua n’était pas le fruit du hasard »

 

 

 

 

 

Chrisda Biba, médaillée d’argent en Judo, Maroua 2018

« La préparation est un peu difficile cette année. Le manque de matériel nous empêche de travailler au rythme souhaité, mais nous reston sereins. On a une équipe très jeune et très enthousiaste. Chacun voudrait savourer le plaisir d’une médaille aux jeux universitaires, c’est une motivation suffisante pour nous ».

DESCENTE DU SECRETAIRE GENERAL SUR LE TERRAIN: LES PREMIERES DECISIONS TOMBENT

Le Pr Mevoungou Nsana a entamé la semaine dernière, une descente dans les directions et centres spécialisés de l’Université de Yaoundé II.  Au terme de chaque étape, le secrétaire général instruisait une liste de mesures d’urgence à prendre pour la bonne marche du service administratif. Et la réaction ne s’est pas faite attendre.

Ce lundi 4 mars , la Direction des Affaires Administratives et Financières (DAAF) a soumis au recteur, une décision portant lancement d’une opération de comptage physique du personnel de l’Université de  Yaoundé II. La mesure avait été instruite Mardi 26 février dernier , lors de la descente du Secrétaire général. Elle doit permettre à la DAAF d’avoir une été précise sur l’effectif réel du personnel en poste et de mieux contrôler la masse salariale.

L’opération de comptage physique  du personnel s’étend du 4 au 15 mars 2019.

En poste depuis novembre 2018,  le nouveau secrétaire général est déterminé à rompre avec l’inertie et le manque de sérieux qui s’installaient graduellement dans les services de l’Université de Yaoundé II.

8 MARS 2019 : C’EST PARTI

Les activités marquant la célébration de la Journée Internationale de la Femme  2019 ont  officiellement  été lancées à l’Université de Yaoundé 2 ce lundi 4 mars 2019. La cérémonie qui avait pour cadre la salle des actes du campus de Soa, était présidée par le Pr Edmond Biloa, Vice-recteur en charge du contrôle interne et de l’évaluation, représentant du Recteur de l’Université de Yaoundé II empêché.

Le Pr Edmond Biloa prononce le discours de lancement solennelle de la JIF 2019 à l’Uy2

Le représentant  du recteur a rappelé aux dames la politique du Chef de l’État , son Excellence Paul Biya, en matière de parité et d’équilibre genre. Il les a rassurés que l’administration de l’Université de Yaoundé II est en croisade depuis fort longtemps, pour lutter contre les inégalités de sexe, à travers la mise sur pieds d’un « comité Genre » , opérationnel depuis 2014.

La 1ere journée des activités de la JIF à l’Université de Yaoundé II été marquée  par la tenue d’une conférence débat sur le thème de la célébration de la 34e édition « croisade contre les inégalités de sexes: s’arimer à la nouvelle impulsion ». 

Quelques intervenants à la table ronde

Les activités devront se poursuivre mardi o5 frevier avec l’investissement humain dans le campus. Mercredi , la marche sportive, suivi dun match de Handball à 10h et en soirée, un foire gastronomique suivie de l’après miti culturelle.

La suite du panel de la table ronde

Jeudi, les dames feront une descente pour remettre les dons dans un centre social, avant le défilé vendredi au boulevard du 20 mai.

8 MARS 2019: l’UY2 LANCE LES ACTIVITES LUNDI PROCHAIN

Les dames de l’Université de Yaoundé 2 veulent célébrer la 34e édition de la Journée internationale de la femme (JIF 2019) autrement.

Présentation du pagne 2019

Sous la conduite de Madame Atangana Lena, coordinatrice des activités de la JIF 2019, elles ont annoncé les couleurs le 21 février dernier. A travers une réunion préparatoire , les dames ont peaufiné les différentes articulations qui doivent marquer la célébration de cette année. Dès lundi prochain, c’est toute une semaine d’activités intense qui attend l’Université de Yaoundé II. Une table, ronde, des causeries éducatives , des rencontres sportives, et une visite dans un centre social sont des activites qui devront meubler la célébration de la JIF 2019 à l’Université de Yaoundé II.

La cérémonie de lancement solennel des activités aura lieu dans la salle des du campus de Soa à 10h. Elle sera présidée par le recteur de l’institution, le prof Adolphe Minkoa she

COMMUNIQUE CCI – CAMES